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Géobiologie des labyrinthes

Depuis octobre 2021, j’ai commencé à me former à la géobiologie avec le CERGA 63. Ma motivation était de mieux connaître le fonctionnement des lieux sacrés pour me servir de ces principes pour implanter au mieux les labyrinthes de méditation.

Dans son livre sur les labyrinthes (Les Labyrinthes- Mythes traditionnels et applications modernes), Sig Lonegren parle des lignes de Ley. Selon lui, les labyrinthes ancestraux étaient construits en cohérence avec ces lignes qui relient des sites sacrés. Je voulais donc en savoir plus sur les lignes et sur la manière de les détecter.

Lors d’une implantation d’un labyrinthe-jardin, j’avais expérimenté le fait de demander à mon pendule de m’indiquer l’endroit où je devais implanter le centre du labyrinthe. D’abord, il m’indiqua la direction puis se mis à tourner quand j’atteignis le point recherché. J’ai ensuite demandé au pendule de m’indiquer l’orientation de l’entrée. La propriétaire des lieux souhaitait un labyrinthe à base d’une croix. J’ai été très surpris de voir que les branches de la croix correspondaient sur le terrain à des alignements d’arbres existants.

Cette première expérience et les propos de Sig Lonegren m’ont motivé à découvrir l’univers de la géobiologie.

Qu’est-ce que la Géobiologie ?

La géobiologie est une discipline, entre la science et l’art, qui a pour objet la compréhension des phénomènes telluriques. La discipline n’est pas reconnue par la communauté scientifique car elle ne répond pas aux standards de la méthode scientifique notamment la reproductibilité des résultats et l’expérience en double aveugle. Ceci étant dit, les résultats obtenus et l’expérience personnelle encouragent à chercher et qui sait, un jour viendra peut-être où nous aurons à disposition des appareils de mesure permettant de répondre à la méthode scientifique. En effet, il n’y a que ceux qui cherchent qui peuvent, un jour, trouver. Et si tous les chercheurs s’étaient arrêtés au prétexte qu’ils n’avaient pas les moyens de prouver scientifiquement leurs intuitions, nous ne pourrions pas aujourd’hui célébrer leurs découvertes ! Si considérer la géobiologie comme une science est une erreur, la rejeter sous prétexte de pseudo-science en est une autre. La géobiologie n’est, pour le moment, pas prouvée scientifiquement, elle reste donc un domaine à explorer et non à rejeter. Bon nombre d’éminentes figures scientifiques historiques célébrées passeraient aujourd’hui pour des hurluberlus illuminés s’ils étaient nos contemporains… La force de leurs intuitions et la perméabilité de leur esprit leur ont justement permis de faire des découvertes…

La grande difficulté scientifique de la Géobiologie réside dans le fait que l’instrument de mesure est le corps humain. De multiples facteurs peuvent donc perturber les résultats : humeurs, santé, physiologie, biais cognitifs. La pratique de la Géobiologie nécessite donc à mon sens une grande humilité, beaucoup de précaution dans ce qu’on affirme et une capacité importante à lâcher prise, couper le mental et écouter son corps. Ce n’est pas impossible mais c’est difficile et l’erreur est vite arrivée. Je conseille pour ce faire une pratique assidue de la Méditation Pleine Conscience pour entraîner et fortifier cette capacité.

L’objet de la Géobiologie est de rechercher et comprendre les phénomènes telluriques énergétiques comme les failles dans le sous-sol, les courants d’eau souterrains, les réseaux type Hartmann ou Curry, les cheminées cosmo-telluriques, les vortex, etc…  

Les outils utilisés :

Le corps humain est l’instrument principal, les outils de géobiologie sont en fait des amplificateurs des signaux reçus et interprétés par le corps. Selon le physicien Yves Rocard, Le corps humain comporte des organes sensibles aux variations électriques et magnétiques. Le corps reçoit ce genre d’information. Les outils de la géobiologie permettent de détecter la réception de ces informations et de les traduire par des mouvements de ces outils.

  • Le pendule, outil le plus célèbre, peut avoir 4 mouvements : rotation à droite, rotation à gauche, transversal et longitudinal. A ces 4 mouvements on peut rajouter un 5eme état : l’immobilité.
  • Les baguettes en L : elles se croisent au moment du contact entre le corps et le phénomène recherché ou elles peuvent donner une orientation en désignant une direction.
  • La baguette de sourcier : elle monte ou descend sa pointe au moment du contact entre le corps et le phénomène recherché
  • Le lobe-antenne : il vire à droite ou à gauche au moment du contact entre le corps et le phénomène recherché, il peut aussi donner une orientation en désignant une direction.

Chaque individu peut développer des habilités particulières avec tel ou tel outil. Personnellement, je ne fonctionne pas du tout avec la baguette de sourcier et je fonctionne très bien avec le pendule et le lobe-antenne.

Les phénomènes recherchés :

En géobiologie, nous allons rechercher des phénomènes nocifs ou bénéfiques pour la santé. Comme en pharmacie, c’est la dose qui fait le poison. Les points négatifs peuvent être utilisés pour se « décharger » avant de se recharger et les points positifs peuvent perturber le sommeil ou surexciter…

  • Les failles : les fractures de couches géologiques émettraient des ondes néfastes
  • Les courants d’eau souterrains : la friction de l’eau sur la roche émettrait des ondes néfastes
  • Le réseau Hartmann : il est constitué d’un maillage de 2m x 2,5m et des bandes de 20 cm d’épaisseur environ, il est associé au nickel, il est orienté nord-sud / est-ouest
  • Le réseau Curry : il est constitué d’un maillage de 4m x 4m environ avec des bandes de 40 cm, il est orienté Sud-Est – Nord-Ouest / Sud-Ouest – Nord-Est, il est associé au fer
  • Les points actifs : c’est la superposition d’un croisement Hartmann et d’une bande Curry
  • Les points étoiles : c’est la superposition d’un croisement Hartmann et d’un croisement Curry
  • Les cheminées cosmo-telluriques : sorte de colonne de respiration, elles ont un mouvement ascendant de la terre vers le ciel où elles sont plutôt positives, un temps de repos et un temps descendant du ciel vers la terre où elles sont plutôt négatives.
  • Les vortex : 2 spirales énergétiques espacées, reliées entre elles par un lien énergétique

La méthode :

La méthode géobiologique est un conditionnement du corps, de l’esprit et de l’âme.

Le géobiologue commence par définir sa convention « Je cherche ici et maintenant tel phénomène, quand mon corps entre en contact avec tel phénomène mon instrument réagit de telle manière ».

Une fois la convention énoncée, il commence sa recherche et matérialise au sol les résultats de ses découvertes.

L’unité :

L’unité utilisée est l’unité Bovis. Il est communément admis dans la communauté des géobiologues que le niveau de santé soit à 6500 unités Bovis (uB). En deçà de cette limite, les phénomènes sont déchargeants, au-delà ils sont chargeants.

La mesure se prend en demandant au pendule de prendre la vibration du phénomène et ensuite d’indiquer sur un cadran Bovis la mesure de la vibration en uB.

L’effet des labyrinthes sur les phénomènes cosmo-telluriques.

En prenant l’hypothèse que ces phénomènes existent et que l’on peut les détecter avec ces outils et cette méthode, je vous propose mes résultats en la matière.

Effet des labyrinthes sur les points étoiles :

Le protocole utilisé est le suivant :

  1. mesure de la vibration au pendule en unité Bovis du point considéré avant traitement
  2. Application d’un labyrinthe sous forme de dessin imprimé A4 posé au sol sur le point étudié
  3. Mesure de la vibration au pendule en unité Bovis du point considéré après application du labyrinthe

Labyrinthes testés :

3 circonvolutions rond
3 circonvolutions carré
3 circonvolutions croix
5 circonvolutions croix
7 circonvolutions croix
Chartres
Cologne 

Résultats obtenus :

La mesure du point étoile avant application des labyrinthes donne : 3000 uB

LabyrinthePoint étoile
3 circonvolutions rond11 000 uB
3 circonvolutions carré5 000 uB
3 circonvolutions croix7 000 uB
5 circonvolutions croix19 000 uB
7 circonvolutions croix40 000 uB
Chartres120 000 uB
Cologne80 000 uB

Conclusions :

La première conclusion qu’on peut en tirer c’est que les labyrinthes peuvent être utilisés pour réguler la nocivité des points étoiles et des points actifs.

La deuxième conclusion c’est que le labyrinthe le plus simple, à 3 circonvolutions, est déjà efficace.

La troisième conclusion c’est que les formes arrondies sont plus efficaces que les formes à angles droits.

La quatrième conclusion c’est que plus le nombre de circonvolutions est important, plus le labyrinthe est puissant sur un phénomène.

La cinquième conclusion, c’est qu’il ne faut pas mettre un labyrinthe trop puissant pour réguler un phénomène, il pourrait devenir perturbant.

Effet des labyrinthes sur la géobiologie d’un lieu

Le protocole utilisé est le suivant :

  1. Relevé des réseaux et phénomènes cosmo-telluriques dans un lieu donné
  2. Mise en place d’un labyrinthe à 3 circonvolutions – rond peint sur un tissus de 2m x2m, entrée à l’ouest
  3. Relevé des réseaux et phénomènes cosmo-telluriques après mise en place du labyrinthe

Photo du relevé avant

Le réseau Hartmann est symbolisé en bleu

Le réseau Curry est symbolisé en jaune.

Photo du labyrinthe mis en place

vidéo du relevé après application du labyrinthe

J’ai filmé le relevé que j’ai effectué sur ce labyrinthe. La vidéo est un peu longue (8min) car la séquence est non coupée ! Vous pourrez ainsi voir tous les essais et mesures que j’effectue.

Conclusions :

La première conclusion c’est qu’un labyrinthe repousse le réseau Hartmann à sa périphérie.

La deuxième conclusion, c’est qu’un labyrinthe n’a pas d’effet sur le réseau Curry.

La troisième conclusion, c’est qu’un labyrinthe attire en son centre une cheminée cosmo-tellurique.

La quatrième conclusion, c’est qu’un labyrinthe attire en son centre un vortex dont les spirales s’organisent avec les circonvolutions du labyrinthe.

La cinquième conclusion, c’est qu’un point de décharge se constitue à l’entrée du labyrinthe et des points de charge se distribuent sur le parcours :

  • 4 dans la 1ere circonvolution, aux points cardinaux
  • 2 dans la 2eme circonvolution : au virage et à son opposé
  • 1 dans la troisième circonvolution : au virage
  • 1 dans le centre.

En synthèse, un labyrinthe se comporte comme un lieu sacré.

Dans l’expérience filmée, ce labyrinthe sur un point étoile initialement à 3000 uB, vibre à 11 000 uB quand le labyrinthe est orienté l’entrée à l’Ouest et à 10 000 uB dans les autres orientations. L’orientation à l’Ouest améliorerait de 10 % la vibration du labyrinthe.

N’hésitez pas à me faire part de vos remarques et expériences en commentaire !

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