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Jean 1.35-51 Les premiers disciples

Spéculation spirituelle et personnelle sur l’évangile de Jean

Le texte biblique

L’évangile de Jean se distingue des 3 autres évangiles par sa composition, son ordre, son style et ses sources.

2 des disciples de Jean le Baptiste le quittant pour suivre Jésus, sous la bénédiction de leur Maître (au sens de l’enseignement et non de la soumission). S’en suit une suite de questions-réponses plutôt énigmatique : “Venez et vous verrez”. Jésus incite ainsi à 2 choses :
– lui faire confiance
– voir par soi-même
Ce n est donc pas une confiance sans preuve, crédule et servile à laquelle Jésus nous appelle. Mais c’est une confiance nécessaire à l’expérience, il nous invite à pénétrer par nous même sur le chemin avec lui comme Maître et guide, comme initiateur. Le premier pas, c’est à nous de le faire, nous sommes maître de notre destin. Il nous aime, il nous veut donc libre et responsable. Nous ne sommes pas obligés, nous avons le choix. L’enseignement commence toujours par la volonté et la disposition de l’étudiant.
Jésus n’est pas un charlatan, il ne séduit pas par le langage, il parle sobrement et invite à constater par nous-même. Il nous invite à quitter la crédulité passive. On pourrait traduite “Venez et vous verrez” par “faites moi confiance et je vous enseignerai”.
L’indication de la 10eme heure m est encore obscure. Peut être un nombre symbolique ?
On ne connais que l’un des 2 disciples de Jean-le-Baptiste : André, qui va lui même aller chercher Simon (-Pierre) (Céphas). Puis Jésus trouva Philippe qui lui même trouva Nathanaël. Le 1er groupe serait alors composé de 5 disciples. Cet épisode est différemment conté que dans les évangiles synoptiques (Mt, Lc, Mc). Pourquoi ? Peut être pour signifier avec plus de force la transmission de Jean-Le-Baptiste vers Jésus…(?) De plus, dans cet évangile, les disciples ont un rôle actif : Jésus finalement ne convainc directement “que” Philippe. L’argument est toujours le même : “Viens et Vois”. Il a un grand respect et une grande confiance en la capacité des Hommes à comprendre par eux-même sans soumission. Le dialogue avec Nathanaël montre que Jésus convainc les sceptiques par l’exemple, le fait, la preuve, l’œuvre. Il ne s’impose pas par la violence et ne soumet pas. Ce dialogue montre aussi les qualités particulières des disciples : “Voici un véritable israélite sans artifice”. Autrement dit : “voici quelqu’un qui est sincère dans sa vie spirituelle et qui ne gâche pas sa connaissance avec des faux semblants, par des distinctions humaines, par des atours et des subterfuges de ce monde. Voici quelqu’un qui possède l’éthique de sa connaissance.
Vient ensuite une promesse bien mystérieuse de Jésus. Cette image impressionne les crédules et interroge les cherchants (ceux qui ont des oreilles…) : “vous verrez le ciel ouvert et les anges de dieu monter et descendre au-dessus du Fils de l’homme”. C’est évidemment une image symbolique. Aujourd’hui, je la comprend comme “vous verrez l’inspiration divine de l’Esprit Sain(t) en action dans mon œuvre” ou “vous comprendrez ce qui se passe quand j’œuvrerai”, “vous verrez ce qui se passe derrière le voile des ‘apparences” …
L’appellation “Fils de l’homme” me semble d’une haute importance. Non pas que Jésus fasse de la fausse modestie ou de l’humilité hypocrite. Je crois que c’est là le véritable sens de son œuvre : montrer ce que l’Homme peut engendrer. Il est l’Homme accompli. L’étoile vers laquelle se diriger pour s’accomplir en tant qu’humain.

<- Jean 1.29-34 L’Agneau de Dieu

Jean 2.1-12 : Le Premier Signe ->

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Jean 1.29-34 L’Agneau de Dieu

Spéculation spirituelle et personnelle sur l’évangile de Jean

Le texte biblique

L’évangile de Jean se distingue des 3 autres évangiles par sa composition, son ordre, son style et ses sources.

Selon Jean, Jésus est l’Agneau de Dieu qui enlève le péché du Monde. Déconnectée de la globalité de l’Enseignement, cette dénomination du “péché du Monde” est culpabilisante, humiliante, voire manipulatrice. Cela voudrait dire, que nous sommes que de vulgaires pécheurs et qu’il faudrait alors renoncer à soi pour plaire à Dieu. Je ne peux pas croire qu’un Dieu d’Amour veuille ça de nous. S’il nous aime, pourquoi voudrait il que nous soyons soumis ? Pourquoi voudrait il que nous soyons passif uniquement ? Sortons de la culture de soumission et de culpabilité du dogme religieux, castrateur et dominateur.
“Jésus enlève le péché du Monde” peut être vu ainsi : Jésus permet aux Hommes de s’émanciper de ce monde, d’échapper à la brutalité fatale. Il nous montre qu’il existe une autre voie que celle de l’égoïsme, de la lutte contradictoire des intérêts particuliers, de la loi du plus fort, de la matière qui maîtrise l’Esprit. Jésus nous ouvre la voie de l’Esprit maître de la matière, la voie de la Sagesse, de la vie en Esprit, de l’intelligence altruiste. Il nous donne le choix. Il nous ouvre au choix. Il nous sauve du binaire qui caractérise ce monde pour nous élever au ternaire qui caractérise l’Esprit, la maîtrise, la création synthétique…
Jean dit qu’il ne connaissait pas Jésus avant, alors qu’ils sont cousins ! alors pourquoi dit il celà ? Est ce important ? Est ce là que nous devons établir la véracité du propos ? Ou est ce dans l’esprit du propos que nous devons chercher à établir la Vérité ? Sur quoi fonder le vrai témoignage ? Sur le fond ou sur la forme ? Sur le Réel ou sur l’Esprit ? Assurément l’Esprit ! Les choses de ce monde, de la culture de la matière, ne peuvent témoigner des choses spirituelles. C’est une question de système, de culture. Nous ne sommes pas dans un domaine historique ou scientifique mais spirituel donc symbolique.
Jean baptise par l’eau, Jésus par l’Esprit Sain(t). Jean prépare, il purifie, il offre la purification à ceux qui le souhaite. Il est la porte. Là encore, il faut sortir de la culture de soumission et de culpabilité. Il vient opérer les premières transformations nécessaires pour que l’Enseignement de celui qui vient (Jésus) puisse être efficace. Jean nous apprend à nous ouvrir, à accueillir, à nous libérer du poids de la culture ambiante, du “Main Stream” et de l’emprise du binaire. Jésus fait descendre sur nous l’Esprit Saint. Il ne s’agit plus de nous purifier mais d’entrer dans une nouvelle ère de l’Humanité, un autre âge, un autre degré ou niveau. Il s’agit de nous apprendre à vivre en Esprit pour faire un Homme nouveau : l’Homme Sage. Il n’est plus question d’humilier par la culpabilité mais d’appeler à la transformation de soi et du monde, à l’action, à la maîtrise.

<- Jean 1.19-28 – le témoignage de Jean

Jean 1.35-51 Les premiers disciples ->

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Jean 1.19-28 – le témoignage de Jean

Spéculation spirituelle et personnelle sur l’évangile de Jean

Le texte biblique

L’évangile de Jean se distingue des 3 autres évangiles par sa composition, son ordre, son style et ses sources.

Jean baptise. Il a une action spirituelle en dehors de l’autorité religieuse d’alors. Ce qui par nature remet en cause cette autorité. Celle-ci s’en inquiète et envoie des émissaires pour en savoir plus, non pour comprendre et s’enrichir mais pour étouffer et confondre.
Jean explique son rôle : il aplani le chemin du Seigneur. Explication qui peut être rapprochée de la parabole du Semeur : Jean est celui qui prépare la Terre (l’Homme) pour qu’elle puisse être féconde à la Semence (la Parole). Il prépare les cœurs. Cette préparation consiste à se mettre en situation d’accueil, d’ouverture à la Parole, l’Enseignement.
Les Hommes (les pharisiens du texte) veulent entendre des réponses qui correspondent à leur façon de voir, à leur organisation, leur référence, leur dogme, leur doctrine, leurs institutions. Mais Dieu, de part sa nature ne peut se manifester dans le cadre restreint des institutions humaines. Les Hommes veulent des réponses qui les justifient, les légitiment, des réponses qui ne les remettent pas en cause, des réponses conservatrices. La Parole, par nature, transforme, remet en cause, révolutionne.
Les Pharisiens attendent un messie, leur messie. Mais enfermés dans leur désir et leur doctrine ils sont incapables de discerner que le Messie est au milieu d’eux. Ce qui serait peut être notre cas si Jésus revenait. Ceci est à rapprocher des Paroles de Jésus invitant à avoir un cœur d’enfant : le cœur neuf, accueillant, spontané, sincère de celui qui apprend. C’est aussi à rapprocher du discours de la méthode de Descartes : Pour voir la Vérité, il faut tout oublier et voir ce qui reste : cogito ergo sum. Pour voir Dieu, il faut oublier les systèmes humains dans lesquels on voudrait l enfermer. De ce point de vue, aucune église ne peut prétendre détenir la seule et unique représentation de Dieu. Aucune ne peut se dire sainte. Dans le cas contraire, elle serait immédiatement dans l’erreur de ces pharisiens, envoyés par les juifs devant Jean pour le confondre.

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Evangile de Jean 1 – prologue

Spéculation spirituelle et personnelle sur l’évangile de Jean

Le texte biblique

L’évangile de Jean se distingue des 3 autres évangiles par sa composition, son ordre, son style et ses sources.


Le Verbe est la transformation de l’Energie et de la Volonté qui prépare ainsi la concrétisation de ce que l’Esprit a conçu. Il est au commencement. Il conçoit, ordonne (dans les 2 sens : mettre en ordre et donner l’ordre) et insuffle.
Il est l’Arbre de Vie de la Genèse (Gn 3.23).
La Lumière est l’animation de la matière, l’énergie de vie.
Le monde ne reconnaît pas ses libérateurs, le monde ne reconnaît pas la Vie. Il lui manque la conscience globale et totale du tout qui est dans tout et la conscience que chaque chose est lié au reste.
Le monde est inconscient, symbolisé par le diable, animé que de ces vils intérêts égoïstes, ainsi l’industrie, la spéculation, les dictatures, le consumérisme, …). Tant qu’il restera inconscient, il ne pourra que rester sourd et aveugle au Verbe.
Le Verbe s’offre, il ne s’impose pas, sinon il n’est plus Amour, et c est à celà qu on le reconnait. Il a laissé les siens libre de le reconnaître ou non. Ceux qui ne l’ont pas reconnu, il ne les a pas exterminé, parce qu il est amour et c est a celà qu on le reconnait.
Ceux qui l’accueille peuvent devenir enfant de Dieu : il peuvent connaître l’Arbre de Vie gardé par le chérubin à l’épée flambloyante à l’Orient.
Le Verbe s’est fait chair pour illuminer le monde. Il a eu besoin d’un préparateur : Jean. Moïse a été le Pape (arcane 5) il a traduit en dogme et en Commandement l’enseignement Divin. Jésus vient éclairer, ouvrir aux cherchants, expliquer, dire le pourquoi à celui qui est à la droite du Pape de l’arcane 5. L’interdit et l’obligation n’ayant pas fait l’humanité meilleure et plus éclairée, Jésus vient pour proposer, encourager à pratiquer les Vertus plutôt que de réprimer les vices.
Jésus nous dit d’aimer plutôt que de nous interdire de tuer.
Jésus nous appelle à la vie en esprit. Là où réside notre unicité. Il ne nous conforme pas à un moule, il ne nous soumet pas à des obligations. Il nous éveille, nous fait confiance. Il veut notre émancipation spirituelle et non notre obéissance.
Obéissance, autorité, commandement, ce sont des mots à bannir pour signifier la Volonté de celui qui Aime.

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Le cycle est complet, la leçon 3 est disponible !

alchimie végétale élixir spagyrie

Apprenez à réaliser des élixirs alchimiques de plantes

Vous vous sentez proches de la Nature ?

La spiritualité veut dire quelque chose pour vous ?

Expérimentez l’alchimie végétale !

 

L’alchimie végétale à votre portée !

La pratique de l’alchimie végétale est à votre portée et elle vous ouvrira de nouvelles portes qui enrichiront votre spiritualité.

Vous transformerez autant que vous serez transformés. Travail sur le soufre, le mercure, le sel ; oeuvre au noir, au rouge, au blanc ; solve, coagula, … l’alchimie vous enrichira de sa symbolique dans votre quête spirituelle de Sagesse et de connaissance.

La voie végétale est une voie accessible, les ustensiles sont dans votre cuisine, les matières premières dans votre jardin ou votre environnement proche.

temoignage

3 leçons dans le juste nécessaire !

Ce 1er cycle de leçons que je vous propose se présente en 3 leçons suivant une logique alchimique :

Leçon 1 (9 pages illustrées ) : le soufre, il s’agira de vous mettre sur le Chemin, de découvrir les symbôles de base de l’alchimie, de faire un travail pour mieux vous connaître et développer votre soufre.

Leçon 2 (30 pages illustrées avec accés à des animations photos) : le mercure, apprendre à recevoir les influences extérieures et travailler votre sensibilité indispensable à la communication avec la Nature.

Leçon 3 (19 pages illustrées) : le sel, la partie opérative proprement dite, les modes opératoires, les ingrédients, les ustensiles pour réaliser des élixirs alchimiques de plantes.

Les leçons 1 et 2 sont indispensables, même si la tentation peut être grande de passer directement à la leçon 3.

En effet, pas d’élixir alchimique sans alchimiste, il faut donc devenir alchimiste pour pouvoir prétendre faire des élixirs alchimiques ! Être alchimiste signifie se mettre sur le Chemin de l’Alchimie, découvrir ses symboles, travailler sa pensée, se nourir des apports des maîtres, entamer son initiation. C’est la fonction de la leçon 1.

Pas d’élixir alchimique sans communication. L’Alchimie n’est pas une science, c’est un art. L’élixir est alchimique quand un alchimiste y intégre sa volonté, sa personnalité, ses intentions et se laisse transformer par les épreuves. Quelque chose se transmet de la plante à l’alchimiste et de l’alchimiste à la plante. Il faut donc s’exercer à cette transmission, cette communication, c’est l’objet de la leçon 2.

Si vous ne respectez pas l’ordre, vous ne serez pas dans une démarche alchimique et vous ferez un alcoolat de plante mais pas un élixir. L’élixir est un produit ternaire, une synthèse entre l’alchimiste et la plante.

Vous trouverez peut-être sur internet des propositions pour savoir faire des élixirs alchimiques en 5 minutes… Vous l’aurez compris, je pense que ce n’est pas possible. Un élixir alchimique est fait par un.e alchimiste et nécessite de savoir coopérer avec les plantes.  La démarche que je vous propose est alchimique, c’est une progression, une initiation.

Il n’est pas nécessaire d’avoir tout lu Eugéne Canseliet, de savoir déchiffrer le Mutus Liber ou de maîtriser tous les symboles et les récits initiatiques mais il faut en savoir un minimum. Il faut acquérir les clés nécessaires pour débuter et progresser. 5 minutes ce n’est pas suffisant. J’ai tenté de regrouper dans ces leçons ce qui me paraît nécessaire et suffisant pour démarrer. Elles sont le fruit de ma propre expérience pour vous permettre de réussir la vôtre.

La Nature vous attend pour vous dévoiler ses secrets et vous soutenir dans votre quête spirituelle. La voie végétale de l’alchimie en est un chemin.

Pourquoi faire des élixirs alchimiques ?

Chaque plante a des vertues et des pouvoirs spirituels. Les plantes sont déjà connues pour prendre soin du corps. Elles peuvent aussi prendre soin de l’âme et de l’esprit.

Elles ne font pas le travail à votre place mais elles vous prodiguent une aide précieuse pour passer des caps, atteindre des nouveaux niveaux de conscience, soigner les obscurités, se connaître davantage, orienter votre Chemin, …

Les plantes sont des amies précieuses pour réaliser votre quête spirituelle.

Quand vous transformerez les plantes, vous subirez aussi symboliquement les épreuves alchimiques, vous serez aussi transformés par la pratique.

Le plomb que vous changerez en or, c’est vous !

Je commence ma formation

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J-1 ! bientôt la sortie du 2ème volet du cycle d’initiation !

Apprendre à réaliser des élixirs alchimiques de plantes – leçon n°2

paraît le

Samedi 5 novembre à 20h00

Après l’accueil encourageant qu’a reçu la leçon n°1 (+ de 20 lecteurs et leurs bons retours), j’ai entrepris la rédaction de la leçon n°2 ! Et la voici ! Elle arrive !

J’espère que vous aurez autant de plaisir à travailler avec que j’en ai eu à la réaliser !

30 pages illustrées pour aborder la communication avec les plantes, faire connaissance avec elles, savoir recevoir le Mercure et pratiquer un art énergétique…

Avec ces 2 premières leçons, Soufre et Mercure, vous serez fin prêts pour attaquer la 3ème et dernière de cette première série : les opérations de laboratoire !

 

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Création d’un cycle initiatique – apprendre à réaliser des élixirs alchimiques

Ca y est ! A la demande de certains, je me suis lancé dans la conception de cours sur la réalisation d’élixirs alchimiques de plantes. C’est une façon pour moi de synthétiser mes connaissances, mon savoir-faire et mon approche dans un enseignement qui m’est propre.

Le cycle des leçons est conçu comme une initiation alchimique :
leçon 1 : connais toi toi même, découverte des symboles, cultiver son soufre
leçon 2 : accepter le mercure, se connecter aux plantes
leçon 3 : le sel, travaux de laboratoire, étapes opératives
leçon 4 : construire son rituel
leçon 5 : utiliser les élixirs
leçon 6 : approfondissement spéculatif
leçon 7 : approfondissement opératif

au bout de la 3ème leçon vous pourrez vous lancer.
Pourquoi pas dès la 1ere ?
Parce qu’on ne fait pas un élixir alchimique en 5 minutes et sans enseignement minimum, malgré ce que certains voudraient vous faire croire sur internet.

En 5 minutes, vous faites une dilution ou une tisane, mais pas un élixir et encore moins un élixir alchimique.
Faire un élixir alchimique suppose une certaine réflexion personnelle sur soi, l’Humanité et la Création ; une connaissance minimale de la culture alchimique ; une capacité à coopérer avec les plantes et bien sûr de connaître non seulement les opérations de laboratoire mais aussi leur sens symbolique.
Celui qui se précipite n’est pas un alchimiste.

Commencez votre voyage !